Vers célèbres.

Vers célèbres classés dans l'ordre alphabétique

 

A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu, voyelles.
Rimbaud , « Voyelles »
Ah ! Frappe-toi le cœur, c'est là qu'est le génie !
Alfred de Musset
Bon appétit, Messieurs, ô ministres intègres.
Victor Hugo, « Ruy Blas »
C'est un trou de verdure où chante une rivière
Rimbaud
C'était pendant l'horreur d'une profonde nuit.
Racine « Athalie II,5 »
Ce que je sais le mieux c'est mon commencement.
Racine « les plaideurs »
Ce siècle avait deux ans ! Rome remplaçait Sparte,
Victor Hugo « Ce siècle avait deux ans »
De la musique avant toute chose / Et pour cela préfère l’Impair
Verlaine « Art poétique »
Dis, qu’as-tu fait, toi que voilà, / De ta jeunesse ?
Verlaine « Le ciel est par-dessus le toit »
Et rose elle a vécu ce que vivent les roses."
Malherbe « Consolations à M. Du Périer »
Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant / D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime
Verlaine « Mon rêve familier »
Je suis le Ténébreux, le Veuf, l'Inconsolé, / Le Prince d’Aquitaine à la Tour abolie :
Gérard de Nerval « El Desdichado »
Je vis, je meurs : je me brûle et me noie,
Louise Labé
J'aime le son du cor, le soir au fond des bois.
Vigny « Le Cor »
Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,
Du Bellay « Regrets »
L'œil était dans la tombe et regardait Caïn.
Hugo « La conscience »
La chair est triste, hélas ! et j’ai lu tous les livres.
Mallarmé « Brise marine »
Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe, calme et volupté
Baudelaire « L'invitation au voyage »
Les plus désespérés sont les chants les plus beaux / Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots.
Alfred de Musset « nuit de mai ».
Mais où sont les neiges d'antan?
Villon « Ballade des dames du temps jadis. »
Mignonne, allons voir si la rose / Qui ce matin avoit desclose / Sa robe de pourpre au Soleil,
Ronsard
Mon âme a son secret, ma vie a son mystère
Félix Arvers
Ô temps suspends ton vol, et vous heures propices ! Suspendez votre cours
Lamartine « Le lac »
On n'est pas sérieux, quand on a dix-sept ans.
Rimbaud « Roman »
Sois sage, ô ma douleur, et tiens-toi plus tranquille
Baudelaire
Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé !
Lamartine, « L'isolement »
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